Chers licencié(e)s, dirigeants, bénévoles et partenaires du club
L’année 2020 est, à bien des égards, sortie de l’ordinaire en raison de l’épidémie de Coronavirus. Chacun de nous en a subi les conséquences. Le premier confinement en mars, puis le reconfinement de novembre nous ont amené à vivre une nouvelle vie, avec des obligations sanitaires auxquelles il a fallu s’adapter, parfois avec difficulté.
Le Covid-19 a impacté la vie sociale de chacun d’entre nous, au niveau familial, professionnel et social. Le monde du sport a évidemment été touché dans ses fondements. La pratique a été interrompue, le lien s’est distendu et notre club dans son ensemble a essayé de faire en sorte qu’il ne se rompt pas en organisant grâce à votre concours animations, jeux, vidéos, articles sur nos outils de communication (mails, vidéos, articles, photos, réunions Skype ou autres) qui nous ont permis de discuter à distance, de garder le moral et d’évoquer l’avenir.
Ainsi, chacun à son niveau a contribué à la poursuite de la vie en pointillés de notre club et c’est pourquoi, au nom du comité directeur, je tiens vous à remercier chaleureusement pour ce que vous avez réussi à accomplir. Un immense MERCI.
Eric Trouillet en compagnie de Vern Cotter, le sélectionneur des Fidji, lors du séjour des Fidjiens dans le Forez. (photo Yves Verrière)Par souci de transparence, il me paraît important de vous donner quelques indications sur la santé financière du club. Dans le contexte économique très compliqué, nous finissons l’année avec un recul certain par rapport aux prévisions que nous nous étions fixées. Si la case recettes est au point mort, nous n’avons pas connu beaucoup de dépenses non plus. Fort heureusement, nos partenaires ainsi que la municipalité continuent à nous faire confiance et nous soutiennent chacun avec leurs moyens. De fait, si la situation n’est pas satisfaisante, nous pouvons nous féliciter d’avoir « limité la casse ».
L’année 2021 se présente comme une année charnière où nous allons devoir continuer à montrer solidarité, courage, engagement, partage et convivialité pour continuer à faire vivre et évoluer notre club dans l’esprit qui nous anime depuis sa création en 2002.
"Cette aventure est la nôtre, la vôtre. Sa réussite sera
une œuvre commune et une victoire collective"
Notre défi majeur désormais est de préparer au mieux la reprise de notre activité pour être le plus performant possible, tout en respectant les contraintes qui pourraient nous être imposées. Notre objectif commun est de continuer à développer notre club, en consolidant nos bases, dans tous les domaines et en allant chercher de nouveaux leviers, en ayant à l’esprit le projet CAP 2023, que je vous ai présenté dans le courant de l’année. Cette aventure est la nôtre, la vôtre : salariées, joueurs, joueuses, entraîneurs, dirigeants, bénévoles et partenaires. Sa réussite sera une œuvre commune et une victoire collective.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une belle année 2021 pleine d’optimisme et de santé ainsi qu’à vos proches, dans l’attente de se retrouver nombreux, petits et grands, autour et sur les terrains pour accomplir de belles choses tous ensemble. Par passion du rugby et du RCAB.
Le retour de Mou-Mou, a eu beaucoup d'effet auprès des enfants, tout heureux de côtoyer la mascotte du club, si chère à notre ami Laurent Baille et à sa famille. (photo Yves Verrière)Une petite photo d'équipe sourire aux lèvres et le bonnet de Noël sur la tête, histoire d'immortaliser le dernier entraînement de l'année 2020. (photo Yves Verrière)
Un temps printanier a accompagné les dernières foulées des jeunes pratiquants, garçons et filles, de l’école de rugby du RCAB en ce samedi matin où il a régné une belle ambiance au stade Baudras, sur la pelouse comme en dehors. Les parents ont aussi répondu présents à l’invitation du club qui avait prévu de célébrer Noël en offrant de petits cadeaux et friandises à ses jeunes licenciés.
Auparavant, les licenciés avaient eu droit à une dernière petite séance d’entraînement ludique encadrée par leurs éducateurs. Chacun a pu se défouler à sa guise à travers divers ateliers avant de rencontrer le Père Noël ainsi que Mou-Mou, la mouette mascotte du club, dont l’apparition sur la pelouse a pas mal intrigué tous les participants.
En conclusion de cette matinée conviviale, le président Eric Trouillet a souhaité de bonnes vacances à tout le monde, l’école de rugby faisant relâche durant cette période. Les bénévoles du club se sont retrouvés ensuite aux abords de la buvette, masqués et à distance respectable, pour un apéritif destiné à clore sur une note chaleureuse une année très tumultueuse.
Le groupe senior mettra un point d’orgue à l’année 2020 lundi et mercredi soir avec deux séances d’entraînement en espérant se retrouver l’année prochaine pour reprendre la compétition...
Philippe Bouchand, Eric Trouillet et Marie Boutin ont posé avec Mou-Mou, qui faisait son retour à Baudras (photo Yves Verrière)
Un grand merci
à l'indispensable duo
Tout heureux dans les bras de son papa et au côté de sa maman, Jules nous montre le superbe petit ballon de rugby qu'il a reçu en cadeau des mains du Père Noël. (photo Yves Verrière)Carole et Mireille étaient bien sûr présentes pour distribuer papillotes et cadeaux comme elles bichonnent tous les enfants de l'EDR tout au long de l'année. Merci à ce duo si indispensable parmi les bénévoles du club (photo Yves Verrière)
« Gagner tous les matches
et aller le plus haut possible»
Victor Tinel dans ses oeuvres. Avec toute une meute d'adversaires à ses trousses et les copains pour assurer le soutien. (photo Léana Verrière)
Il incarne parfaitement le vent de jeunesse qui souffle depuis la saison dernière sur le groupe senior du RCAB. A 19 ans, Victor Tinel en est l’incarnation avec bon nombre de ses copains : Jacques Belon, Alexis Bertrand, Evan Cancade, Antonin Delaune, Marceau Depras, Antoine Durry, Alexandre et Guillaume Gaillard, Pierre-Louis Gayet, Brice Meyer, Aubin Relave, Antoine Rivoire, Lilian Sensier, Romain Soubeyrand,, Jules Thorron, Mathys Verrière…
Cette nouvelle vague a apporté son insouciance, sa rage de vaincre et son talent à un collectif qui a eu vite fait d’intégrer ces garçons issus des rangs juniors, issus de plusieurs clubs réunis sous la bannière de l’entente Loire Sud.
Victor Tinel par exemple a fait son apprentissage dans les rangs du CASE où il a évolué jusqu’en cadets avant de rejoindre le RCAB où il a progressé à grands pas en junior, au point d’intégrer l’équipe fanion la saison dernière.
Un match en réserve avant d’être appelé dans la foulée en équipe première où il s’est installé comme un titulaire indiscutable, à la faveur de prestations tonitruantes et ce malgré une blessure à la cheville qui l’a retardé dans sa progression.
Ce solide gaillard, féroce au plaquage, qui avoue un faible pour le poste de troisième ligne aile (6 ou 7) car « il s’y sent plus utile », revient sur le début de saison très encourageant de l’équipe fanion.
Votre meilleur match ?
« À Moulins. C’est notre match référence en terme de mentalité, de solidarité. Je n’ai pas joué ce match car j’étais blessé. Je l’ai suivi de la tribune mais les copains ont fait preuve de solidarité, de cohésion et ont répondu présent quand ils ont été bousculés.
Malgré la défaite, j’ai bien aimé aussi ce que l’on a fait à Riom où on perd de peu (10-9). Mais ce jour-là, on a montré à une grosse équipe, une des favorites de la poule, ce que l’on était capable de faire. On peut parler de déclic. On s’est prouvé que l’on n’était pas rien. »
Votre moins bon match ?
« Contre Cusset, malgré notre victoire, on n’a pas montré grand-chose. On est tombé dans un faux rythme, on n’a pas proposé de jeu, on a juste tenu le match. »
« On s’appuie plus les uns sur les autres. »
Victor Tinel en compagnie de Marceau Depras ( à gauche). Deux visages souriants qui disent l'ambiance qui règne dans le groupe. (photo Léana Verrière)Votre principale satisfaction ?
« La cohésion sur le terrain et en dehors qui n’existait pas vraiment la saison dernière. On s’appuie plus les uns sur les autres. On se régale plus. Il est vrai qu’on se connaît mieux et que les résultats aident à souder un groupe. Il y a plein de copains qui nous ont rejoint et ça a créé un engouement. »
Votre plus bel essai ?
« Je placerais en premier un de nos essais à Moulins, inscrit au bout de plusieurs passes. On a montré qu’on est un collectif avant tout. Et puis, mon essai à Givors. Au départ, c’est une touche, je récupère un ballon aérien et j’ai un adversaire à mes trousses. Je pense qu’il va m’attraper et puis j’arrive à accélérer et à marquer sous les poteaux. Franchement, c’est jouissif. On n’entend plus rien autour. »
Vos ambitions?
« C’est de continuer à montrer notre jeu, gagner tous les matches, que l’on se fasse craindre par nos adversaires. L’idée, quand on pourra reprendre, c’est de confirmer notre bon début de saison. Et personnellement, je voudrais jouer beaucoup de matches et aller le plus haut possible. »
Une histoire de famille
Jules, le frère cadet de Victor, marche sur les traces de son frère à grands pas. (photo Léana Verrière)
Si Victor Tinel fait les beaux jours du RCAB, son jeune frère Jules, 16 ans, marche sur ses traces à grands pas. Alors qu’il évoluait avec les cadets de l’entente Loire Sud, il a été repéré par les formateurs de l’ASM Clermont dont il a rejoint les rangs cette saison.
« Il est en avance pour son âge » admet Victor qui fait partie d’une famille de sportifs dans l’âme, où l’esprit de compétition est bien présent entre Victor, Jules et Théodore, leur frère aîné.
Les fêtes de Noël arrivent à grand pas et les joueurs de l'EDR du RCAB (du Baby Rugby à la catégorie M14), comme à leur habitude, ont été sages ...L'homme en rouge leur a donc déposé des cadeaux sous le sapin du Club House !
Nous vous invitons à venir les retirer ce SAMEDI 19 DÉCEMBRE, à partir de 11h au stade Roger Baudras.
Pour rendre le moment plus festif, nous vous attendons, petits et grands, parés de votre plus beau bonnet de Noël. Naturellement, tout ceci en respectant les règles sanitaires!!
Le monde du rugby avance toujours la solidarité comme l'une des valeurs fondamentales nécessaires à la pratique de ce sport. C'est une évidence sur le terrain où l'on est rien sans ses coéquipiers mais c'est un principe que le RCAB s'efforce d'exprimer en dehors du pré, à travers diverses actions menées tout au long de la saison.
A la demande de l'un des partenaires du club, les établissements Leclerc à Andrézieux-Bouthéon, les bénévoles du club ont été sollicités pour participer à une opération menée depuis de nombreuses années à l'occasions des fêtes de fin d'année par le Secours Populaire.
Cette association propose depuis quelques jours aux clients du supermarché d'emballer gracieusement et joliment leurs cadeaux de Noël en contrepartie d'un petit don de quelques euros, au choix de chacun.
Plusieurs membres du club (Nathalie Boutrand, maman de Liam Montes, Virginie Beaussuzel Ambill, maman de Gabin Ambill Beaussuzel, tous deux joueurs de la catégorie M12; Pierre-André Jay; Stéphane Colas; Françoise et Léana Verrière; Cédric et Nathalie Souchon) ont répondu présent pour donner quelques heures de leur temps et un coup de main apprécié par le Secours Populaire et les clients de la grande surface tout au long de cette opération.
Il adorait jouer pilier, son poste de prédilection, avant de passer au talon il y a quelques saisons, à la demande de Richard Levèque, l’un des anciens coaches du club. Il s'y est installé sans broncher.
Mais, en vérité, il reste un pilier, inamovible, au regard de sa longévité sous les couleurs du RCAB, au sein duquel il exerce ses talents depuis 2008. L’année même où l’équipe senior fut constituée,
«par amour des défis», il avait décidé de tenter l’aventure, après avoir fait ses armes, dès l’âge de 12 ans, dans le club de Rive-de-Gier.
Le moment était bien choisi puisque l’équipe fanion du RCAB allait gravir les échelons, saison après saison, trustant les titres de la quatrième à la première série. Guillaume « le conquérant » sera de toutes les finales, évoluera ensuite en Promotion d’Honneur, en Honneur et quelquefois en Fédérale 3 avant de mettre pédale douce pour s’engager dans un processus professionnel où il avait besoin de tout son temps pour réussir dans son entreprise.
Un accident du travail: une fracture de la jambe, l’éloignera bien des terrains durant plusieurs mois. Mais la passion du rugby est toujours là, comme un défouloir, un besoin de partager avec les copains, d’assouvir son amour du jeu.
Désormais, Guillaume Hervet est bien installé, comme au coeur d’une mêlée, mais il lui faut consentir beaucoup de sacrifices dans son métier d’agriculteur dans les Monts du Lyonnais, à Fontanes.
Lever à 5h 30 du matin et fin de la journée la nuit largement tombée. Ce qui ne l’empêche pas du haut de ses 37 ans de vouloir continuer à se faire plaisir avec la réserve andrézienne, parfois avec des gamins, dont les pères furent ses coéquipiers :
« J’ai eu pour partenaires Christophe Lagoutte, Loïc Devis, Eric Trouillet et maintenant, je me retrouve à jouer avec leurs fils. ça fait bizarre » rigole t-il. Tous ces jeunes qui ont rejoint le groupe senior depuis une ou deux saisons sont venus apporter du sang neuf à l’équipe réserve. Une arrivée massive qu’il voit d’un bon œil : « C’est très intéressant. Un club comme le nôtre doit vivre à travers sa jeunesse, les gars formés au club. Ils se connaissent très bien, jouent ensemble depuis longtemps et ont une mentalité club. Ça joue bien, c’est sérieux à l’entraînement et on prend du plaisir tous ensemble. »
Guillaume Hervet, 2e en partant de la gauche, ici lors du premier match de la réserve contre Buxy, apprécie de faire partager son expérience aux jeunes dont il apprécie le sérieux. (photo Léana Verrière)
«Chacun peut avoir sa chance
et ça crée une belle concurrence.»
Au point de faire oublier une dernière saison fastidieuse où entre blessés, suspendus et gars peu motivés, les résultats n’avaient pas été au rendez-vous. Là, au contraire, comme l’équipe fanion, les réservistes ont déjà remporté trois succès à Buxy, contre Cusset et à Moulins.
« Le groupe s’est rajeuni. Il y a plus d’esprit de compétition et les coaches ne ferment la porte à personne. On est un groupe senior, chacun peut avoir sa chance et ça crée une belle concurrence. On prend du plaisir, vraiment, car la mentalité du club, c’est de produire du jeu. »
Dans cette belle dynamique, Guillaume Hervet joue son rôle sans en rajouter. Pas du genre à jouer les anciens combattants. Son bilan des cinq premiers matches est satisfaisant : « A Buxy, on a gagné mais sans avoir trop de repères, contre Cusset notre victoire est logique. A Riom, c’est peut-être notre plus mauvais match. On a manqué d’expérience, d'un peu de vice mais ça s’apprend.
A Givors, on peut mieux faire, le score ne reflète pas ce qui s’est passé sur le terrain. On méritait mieux car on s’est envoyé, on a été solidaire. Et à Moulins, on fait surtout une grosse première mi-temps. On va dire que c’est notre plus belle victoire. »
Il y en aura sûrement d’autres si l’état d’esprit reste le même. Nul doute que le doyen y veillera quand l’heure de la reprise sonnera. En attendant, le travail ne manque pas à la ferme en cette période de vêlage : « Je ne dis pas que le confinement m’a arrangé mais j’avais pas mal de boulot et ça m’a permis d’avancer. » Tout en entretenant naturellement ses capacités physiques, histoire de répondre à l’attente de ses jeunes coéquipiers, le week-end, au premier rang de la mêlée. Conscient que longévité et exemplarité sont indissociables lorsqu’on est le doyen. Un rôle qui lui va bien.
Nemani Nadolo, lors d'un entraînement à Baudras mardi dernier, a montré toute sa classe en inscrivant trois essais et en étant élu homme du match (photo Léana Verrière)
Ils se l'étaient promis et ont réussi dans leur entreprise. La sélection des Fidji a terminé sur une bonne note l'Autumn Nations Cup en remportant une nette victoire face à la Géorgie (24-38) samedi après-midi sur la pelouse du stade de Murrayfield en Ecosse. Ils terminent à la 7e place de ce tournoi. Nemani Nadolo, auteur de trois essais, a été élu homme du match. Un succès qui récompense l'abnégation des hommes de Vern Cotter qui, victimes en nombre du Covid 19, ont dû attendre près d'un mois avant de pouvoir enfin s'exprimer lors d'un match officiel. Ils clôturent ainsi positivement leur préparation dans le Forez, dont ils ont apprécié l'accueil, que ce soit à La Charpinière, l'établissement hôtelier de Saint-Galmier et au stade Baudras, où Clément Vidal et Enzo Mandran, au nom du RCAB, les ont accompagnés au quotidien pour faire en sorte qu'ils ne manquent de rien.
De son côté, la sélection fidjienne laissera un bon souvenir, même si dans les rangs du club, on aurait aimé pouvoir profiter de l'occasion pour côtoyer les joueurs de plus près. Mais ce n'est peut-être que partie remise...
Eric Trouillet, président du RCAB en compagnie de Vern Cotter, sélectionneur des Fidji et Franck Anderloni, directeur général de la Charpinière, vêtu de la tunique fidjienne. (photo DR)
Les éducateurs, masqués, ont parfaitement encadré les tout jeunes rugbymen et women du RCAB, sous le regard de leurs parents. (photo Yves Verrière)
Ce samedi matin, les gabarits n'étaient pas les mêmes sur la pelouse du stade Baudras que dans le courant de la semaine où nos amis fidjiens s'entraînaient avant d'affronter la Géorgie pour le match de classement de l'Autumn Nations Cup.
Les petits rugbymen (et women) de l'école de rugby du RCAB ont retrouvé leur terrain de jeu préféré avec beaucoup d'enthousiasme et de plaisir. Un plaisir partagé par leurs parents, profitant du beau soleil qui a accompagné les retrouvailles de leurs enfants avec le ballon ovale.
Une soixantaine de mômes ont investi la place, répartis par catégories (baby rugby, U6, U8, U10, U12) et encadrés par leurs coaches, porteurs du masque.
Chacun a pu évacuer son trop plein d'énergie, tout en renouant les liens avec les copains et en s'adonnant à des exercices avec ou sans ballon. Puis, le traditionnel goûter a clos cette séance de reprise qui a comblé tout le monde. En premier lieu, Christophe Lagoutte et Bruce Mathieu, les deux responsables de l'école de rugby du RCAB, heureux que les jeunes pousses et leurs parents aient répondu aussi nombreux à cette reprise d'activité.
Un petit bonhomme de la catégorie U6, ballon en main sur un parcours de motricité. (photo Yves Verrière)
Le groupe des U 8, encadré par les coaches Charles Tonon, Pierre-André Jay, Mathys Verrière s'est défoulé avec grand plaisir pour cette reprise tant attendue. (photo Yves Verrière)Ballon en main, prêt à sauter les obstacles avec les copains de l'école de rugby! (photo Yves Verrière)La bonne nouvelle émanant de la FFR est tombée en ce début de semaine, l'ensemble de nos licenciés vont pouvoir reprendre le chemin du stade. Une autorisation de reprendre le rugby dans le plus strict respect des règles sanitaires, c'est-à-dire sans contact et par groupe de 10.
Les vestiaires du stade restent pour le moment fermés et le port du masque est obligatoire pour tous en dehors du terrain.
L’école de rugby a été la première à rechausser les crampons ce mercredi après-midi sur le terrain synthétique du stade Baudras. Les seniors reprennent dès vendredi par groupe de 10.
Toutes les autres catégories reprennent leurs activités à leurs horaires et lieux habituels. (-14 à Baudras). Quel plaisir de (re)voir tous ces mômes gambader joyeusement sur le terrain, encadrés par les éducateurs du club, eux aussi le sourire aux lèvres, de renouer le contact avec ces jeunes pousses prêtes à se défouler, à galoper à en perdre haleine. Samedi, ce sera au tour des plus grands de faire leur retour. Le coeur de Baudras va battre à nouveau très fort au rythme des rugbymen et women du RCAB, sans oublier toutes les précautions à prendre!!!!
L'école de rugby du RCAB a envoyé un message d'encouragement sur les réseaux sociaux à l'équipe des Fidji avant son match contre la Géorgie. (photo Yves Verrière)Le groupe des 10-12 ans dirigé par Bruce Mathieu a repris l'entraînement avec beaucoup d'enthousiasme. (photo Yves Verrière)
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